Dans un monde où l’économie globale est devenue plus concurrentielle comme « le monde est devenu plus plat » (Thomas L . Friedman), l’éducation est plus précieuse que jamais. Nous nous engageons à enrichir notre capital humain tout au long la vie en tenant en compte de nos apprentissages. Selon l’agenda politique de l’Union Européenne, il faut en particulier sensibiliser les groupes défavorisés et les étudiants avec un profil atypique (âgés de +50 ans, les migrants, les minorités ethniques et les personnes handicapées) en valorisant leur intégration dans l’enseignement supérieur. L’économie de la connaissance européenne a besoin de la participation de tous. L’agenda européen sur ‘la Dimension Sociale de l’Education et de la Formation’ déclare que la reconnaissance des apprentissages acquis et d’accompagnement individualisé, permettent la participation des groupes défavorisés et présentant un profil atypique dans l’Enseignement Supérieur (ES). Cette philosophie est issue du cadre stratégique pour la coopération européenne en matière d’éducation et de formation.
Cependant, les institutions d’enseignement supérieur cherchent à améliorer et valoriser l’apprentissage tout au long la vie et à proposer des méthodes de Validation des Acquis de l’Expérience (VAE). Quelques universités développent des méthodes VAE comme une réponse aux besoins des marchés économiques et professionnels ; d’autres universités utilisent la VAE comme outil pour améliorer l’accès et la participation des groupes cibles, qui n’accèdent pas à l’enseignement supérieur.
La situation exige une action pour rendre l’Enseignement Supérieur (ES) plus accessible pour les groupes cibles en créant des stratégies flexibles pour l’apprentissage tout au long la vie, grâce à une approche de VAE qui soit adapté à des profils d’étudiants particuliers.
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